Ce matin à 09h00, Carlos Mazon Il a convoqué une audience institutionnelle sans questions au Palau de la Generalitat, où a annoncé sa démission en tant que président de la Generalitat valencienne. Mazón affirme que sa décision fait suite à un processus de réflexion personnelle.
Le président affirme que sa démission est due à des « raisons personnelles et à sa responsabilité institutionnelle », sans préciser la date exacte de son départ. Mazón souligne que sa décision « n'est pas une réponse à des pressions extérieures », tout en reconnaissant que la dernière étape « a été particulièrement difficile ».
La démission de Mazón intervient après des mois de tensions politiques liées à sa gestion de la DANA qui a frappé la Communauté valencienne en octobre 2014 et qui a fait à ce jour 229 morts. La gestion de la crise, les retards dans les alertes et le manque de coordination institutionnelle ont suscité une vague de critiques à l'encontre du président et de son gouvernement au cours des douze derniers mois.
Durant ces douze mois, diverses manifestations ont eu lieu sous le slogan « Mazón démissionne » Elles se sont répétées à différents endroits de la Communauté valencienne.
Jeudi dernier, Mazón avait déjà annoncé qu'il entamait une « période de réflexion » après les funérailles nationales organisées pour le premier anniversaire de la tempête DANA du 29 octobre, un événement au cours duquel il a été hué par les proches des victimes au début et à la fin de la cérémonie.
Par ailleurs, cette démission coïncide avec le témoignage, ce même lundi, de la journaliste Maribel Vilaplana devant le tribunal de Catarroja, chargé de l'affaire pénale relative à la gestion de cette catastrophe. C'est Vilaplana qui avait partagé un repas avec Mazón au restaurant El Ventorro le 29 octobre 2024, jour des inondations dévastatrices.
Pour le moment, il n'a pas convoqué de réunion. élections régionales anticipéesIl n'a pas été précisé si le Parti populaire proposera un nouveau candidat issu de son groupe parlementaire. Par ailleurs, M. Mazón conservera son siège au Parlement valencien. Sa démission ouvre une période de transition susceptible de redéfinir l'équilibre politique au sein de cette institution.







Nous pouvons donc qu'une personne à un siège au Parlement ne puisse pas se rendre à l'intérieur des données de base.
Il n'est pas totalement polyvalent et ignore les opérations de Dana et ses Angehörigen gezeigt durch seine beharrliche stoische Auftreten.
Wie soll da neues Vertrauen entstehen
Et Sánchez ? Oh non, il ne veut pas perdre son emploi en or…
Il s'y prend à la dernière minute, attendant deux ans pour pouvoir percevoir 75 000 € par an du Conseil consultatif juridique. De plus, il aura droit à deux conseillers et à une voiture de fonction, et restera député afin de conserver son immunité parlementaire et d'éviter de comparaître devant le juge de Catarroja.
👉Ce sont là les privilèges politiques qui doivent cesser.
❌Justice n'est pas rendue aux familles des victimes de la tempête DANA.
Non aux protections juridiques spéciales pour les politiciens !
💼 Être en politique devrait signifier travailler pour et avec le peuple, et non se soustraire à la justice. La justice doit être égale pour tous.